Les ruesLes ruesTout comme le marché bruyant et la boulangerie très odorantes, la forge n'avait pas été ardue à trouver.
J'étais désormais capable de reconnaître a senteur âpre du souffre entre mille, et le fracas du métal ne laissait aucun doute.
Si une hésitation persistait alors les étincelles et l'antre rouge les abattait.
Ils avaient l'air... Étonnés de me voir ici. L'un de forgerons vint à ma rencontre et me demanda poliment, la nature de ma requête.
Je lui designais mes sabots. Cnetait la première fois que je portais des fers et ils blessaient la corne. Il semblait. En tout cas c'était inconfortable.
Il pris soin de les.examiner, mais ils n'étaient pas la cause de l'inconfort.
Mes pieds étaient secs et se fissuraient un peu pzrtout. Sans compter les cailloux qui s'étaient logés dans mes "fourchettes".
Il fallait les curer. Souvent. Le forgeron me laissa le pot de graisse, le pinceau et un cure pieds.
Je le remerciais, lui offris quelques pièce et retournais en direction de la boutique qu'il me tardait de visiter.